L’attente fiévreuse entourant la très hypothétique « Switch 2 » – un nom qui lui est attribué en attendant une annonce officielle – ne fait que s’intensifier, suscitant une agitation sans précédent parmi les aficionados de Nintendo. Le rendez-vous incontournable de la sortie de Super Mario Bros Wonder a contraint Doug Bowser, l’actuel directeur de Nintendo of America, branche américaine de l’entreprise de jeu vidéo japonaise, à parcourir la presse, non seulement pour promouvoir le jeu phare, mais aussi pour faire face aux questions brûlantes concernant cette mystérieuse console, sans toutefois révéler de nouveaux détails.

Cependant, son entrevue récente avec Inverse pourrait apporter un souffle de soulagement à ceux qui craignent que cette nouvelle machine ne soit pas compatible avec les jeux Switch.

Le compte Nintendo au cœur de la transition

L’une des questions cruciales qui préoccupent la communauté des joueurs concerne la rétrocompatibilité de la prochaine Switch. Les spéculations vont bon train et, pour l’instant, aucune information officielle n’a été divulguée. Lorsqu’on a demandé à Doug Bowser comment Nintendo entendait préserver l’investissement en temps et en argent des adeptes de la Switch lors du lancement de la nouvelle console, sa réponse a jeté un éclairage bienvenu sur la question :

« La création du compte Nintendo nous permettra de communiquer avec nos joueurs si et quand nous effectuons une transition vers une nouvelle plateforme, afin de faciliter ce processus […] Je ne peux pas parler des fonctionnalités potentielles d’une nouvelle plateforme, mais le compte Nintendo est une base solide pour avoir cet échange pendant que nous effectuons la transition. »

Il semble donc que Nintendo mise grandement sur les comptes existants pour faciliter la transition entre la Switch actuelle et sa future incarnation. Cela laisse entrevoir une forte probabilité de rétrocompatibilité, car le transfert des comptes permettrait aux joueurs de retrouver l’ensemble de leur ludothèque Switch sur la nouvelle plateforme.

Histoire à suivre…

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